21 Avr, 2025
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PREMIÈRE CONCERTATION ENTRE LE MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET LES ORGANISATIONS INTERPROFESSIONNELLES AGRICOLES OIA: LA VISION D’ÉMERGENCE DU MINISTRE, PARTAGÉE AUX OIA.

Accueil Ministère Ministre Mot du Ministre Biographie du Ministre Cabinet du Ministre Secrétariat général Audience Structures Services centraux Projets programmes Organismes personnalisés Organigramme Missions et attributions Actualité Actualité en images Agriculture Elevage Pêche Vidéothèque Documentation Lois Arrêtés Décrets Décisions Rapports et Bilans Campagnes Agricoles Politique de Développement Agricole Coopération Internationale Partenaires techniques et financiers Les accords de partenariat Partenariat Public/Privé Contacts Accueil Ministère Ministre Mot du Ministre Biographie du Ministre Cabinet du Ministre Secrétariat général Audience Structures Services centraux Projets programmes Organismes personnalisés Organigramme Missions et attributions Actualité Actualité en images Agriculture Elevage Pêche Vidéothèque Documentation Lois Arrêtés Décrets Décisions Rapports et Bilans Campagnes Agricoles Politique de Développement Agricole Coopération Internationale Partenaires techniques et financiers Les accords de partenariat Partenariat Public/Privé Contacts Le Ministre de l’Agriculture, M. Daniel Siméon KELEMA, a présidé ce vendredi 18 avril, dans la salle de réunion de la DFM du Ministère de l’Agriculture, la première Concertation entre le Département de l’Agriculture et les Organisations Interprofessionnelles Agricoles. La rencontre a enregistré la participation des Présidents des Interprofessions de filières du Mali, les représentants des Ministères concernés, des services techniques de l’État, et de la CCIM, en présence des Secrétaires Généraux des Départements de l’Agriculture, et de l’Élevage et de la Pêche, représentant le Ministre Youba BA, empêché pour cas de force majeure de dernière minute. L'objectif global de ce cadre de concertation est de contribuer à la promotion des filières Agricoles et à la responsabilisation effective des acteurs des Organisations Interprofessionnelles Agricoles.En organisant ce cadre de concertation entre le Ministère de l’Agriculture élargi au au Ministère de l’Élevage et de la Pêche, le Ministre KELEMA, a trouvé un créneau propice pour partager sa vision des OIA. Selon le Ministre, c'est par le biais de l’Agriculture que nous pourrons, sans conteste, gagner le combat contre la faim et l’extrême pauvreté.Dans la perspective d'un développement harmonieux, cohérent et soutenu de notre secteur Agricole, à travers la mise en œuvre coordonnée des actions de promotion agricole, l’approche filière a été privilégiée dans la conduite de notre Politique de Développement Agricole, a-t-il rappelé. Les Organisations Interprofessionnelles Agricoles ont un rôle éminemment important dans le développement et la promotion des filières Agricoles, a indiqué le Ministre Daniel Siméon KELEMA.La vision du Ministre porte surtout sur le renforcement des capacités des OIA pour amorcer la contractualisation de l’Agriculture qui va favoriser la complémentarité et l’intégration entre les OIA.Dans cette perspective, le partage de l’information et la sensibilisation des démembrements sur le rôle et les attributions spécifiques des Interprofessions doivent être au cœur des missions des OIA, a-t-il rappelé. Nous devons travailler pour que les Maliens nourrissent les Maliens, a indiqué le Ministre de l’Agriculture. Le Ministre KELEMA de rassurer les OIA, de la disponibilité et de l’accompagnement des Départements de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, suivant les orientations éclairées du Président de la Transition, Chef de l’État, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, et sous l’égide du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Général de Division Abdoulaye MAÏGA, en faveur d'une Agriculture compétitive, moderne et favorable aux exploitantes et exploitants. Quant au Président du Cadre de concertation des Interprofessions des Filières Agricoles, M. Bakary DOUMBIA, a salué cette belle initiative du Ministre de l’Agriculture, qui participe au renforcement du cadre de partenariat et du cadre organisationnel des OIA. Lesquelles vont pleinement jouer leur rôle dans la promotion des filières Agricoles afin de contribuer à la croissance économique du Mali.En ce qui concerne les perspectives, selon le Ministre de l’Agriculture, les réflexions sont en cours sur:-l’institution de la Contribution Volontaire Obligatoire CVO, au sein des Interprofessions;-la mise en place du Système Nationale d’Informations sur les Filières Agricoles SNIFA et-la promotion de l’Agriculture contractuelle au Mali. CCOM MA Partager : More Posts Ecrivez-Nous

20 Avr, 2025
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OUVERTURE DU FORUM NATIONAL POUR LA MISE EN PLACE DE FINANCEMENT DURABLE DU PN-SRI, SOUS LA PRÉSIDENCE DU PREMIER MINISTRE, CHEF DU GOUVERNEMENT

Accueil Ministère Ministre Mot du Ministre Biographie du Ministre Cabinet du Ministre Secrétariat général Audience Structures Services centraux Projets programmes Organismes personnalisés Organigramme Missions et attributions Actualité Actualité en images Agriculture Elevage Pêche Vidéothèque Documentation Lois Arrêtés Décrets Décisions Rapports et Bilans Campagnes Agricoles Politique de Développement Agricole Coopération Internationale Partenaires techniques et financiers Les accords de partenariat Partenariat Public/Privé Contacts Accueil Ministère Ministre Mot du Ministre Biographie du Ministre Cabinet du Ministre Secrétariat général Audience Structures Services centraux Projets programmes Organismes personnalisés Organigramme Missions et attributions Actualité Actualité en images Agriculture Elevage Pêche Vidéothèque Documentation Lois Arrêtés Décrets Décisions Rapports et Bilans Campagnes Agricoles Politique de Développement Agricole Coopération Internationale Partenaires techniques et financiers Les accords de partenariat Partenariat Public/Privé Contacts Le PN-SRI, le Programme National de mise à échelle du Système de Riziculture Intensif est initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui de ses partenaires notamment la coopération Allemande GIZ-Mali, à travers la Direction Nationale de l’Agriculture comme structure de coordination et de mise en œuvre. Il a une vision claire de la réalisation de la souveraineté et de la sécurité alimentaire et nutritionnelle du Mali, avec des perspectives d’exportation des excédents.Dans l'objectif d’accroître la productivité du riz, protéger l’environnement et augmenter les revenus des exploitations Agricoles, le PN-SRI a donc été initié en droite ligne des préoccupations et objectifs de la Politique de Développement Agricole du Mali. Le programme contribuera en 10 ans à l’augmentation de 20% de la production soit 1 million de tonnes de riz paddy pour la première phase avec une superficie emblavée de 154.268 ha, et 244.962 producteurs/trices touchés.Le coût de réalisation de ce programme ambitieux est évalué à environ 14.112.000.000 de F CFA. Le Gouvernement s'engage à prendre en charge 60% du budget et sollicite l’appui des partenaires des partenaires techniques et financiers pour les 40%.Et vous avez la justification de la tenue du forum national pour la mise en place de financement durable du PN-SRI, ce jeudi 17 avril 2025, à l’hôtel Azalaï Salam.La cérémonie d'ouverture était présidée par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Général de Division Abdoulaye MAÏGA, accompagné au présidium du Ministre de l’Agriculture, M. Daniel Siméon KELEMA, de la Directrice de la Coopération Allemande, Dr Élisabeth Van den AKKER et du Président de l’Interprofession Filière Riz, M. Falery BOLY.Le forum a enregistré la présence de plusieurs membres du Gouvernement, des représentants des partenaires techniques et financiers, des structures étatiques, du secteur privé et de toutes les parties prenantes en lien avec la filière riz.Pragmatique dans sa démarche, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Général de Division Abdoulaye MAÏGA, a salué et loué l’avènement du PN-SRI, au regard du caractère stratégie du riz pour la sécurité alimentaire nutritionnelle et économique au Mali.Et le Premier Ministre d'engager le Gouvernement pour assurer sa part de financement du PN-SRI. Il a exhorté l'ensemble des partenaires à accompagner et soutenir le programme qui se caractérise par Ie grand potentiel dont le Mali dispose, a-t-il indiqué.La signature du manifeste par des partenaires techniques et financiers notamment la coopération Allemande, les Ambassadeurs du Burkina Faso et du Niger, deux pays de la Confédération de l’AES, le Projet Dou Touloma et Éléphant Vert, est une réponse éloquente et forte à l’appel du Premier Ministre.La visite des stands par les officiels et un panel ont également constitué des moments agréables du forum national pour la mise en place de financement durable du PN-SRI.I’Agriculture pour toujours.I’Agriculture c'est la vieCCOM MA Partager : More Posts Ecrivez-Nous

17 Août, 2023
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RESUME DU RAPPORT DU PLAN D’ACTION DE REINSTALLATION (PAR) DES POPULATIONS AFFECTEES PAR LES TRAVAUX DE REALISATION DE 21 000 HA DE TERRES AMENAGEES DANS LE CADRE DU PROJET DE DEVELOPPEMENT INTEGRE ET DE RESILIENCE CLIMATIQUE DANS LES PLAINES DU DELTA 2 (PDIR – PD2) EN ZONE OFFICE RIZ SEGOU DANS LA REGION DE SEGOU

Le Gouvernement de la République du Mali a obtenu un Don de la Facilité Africaine de l’Eau (FAE) à travers le groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour financer les activités d’un projet dénommé Projet de Développement Intégré et de Résilience Climatique dans les Plaines du Delta 2 (PDIR – PD2) en zone Office Riz Ségou dans la région de Ségou pour une durée de 24 mois prorogé jusqu’en avril 2023. L’objectif du projet est de promouvoir le développement socio-économique durable dans la zone d’intervention de l’ORS à travers la mise en valeur des ressources en eau, en vue de la résilience des populations au changement climatique.Dans le cadre du PIP, il est prévu la réalisation de 21 000 ha de terres aménagées dans les plaines du delta 2.Hormis les impacts positifs, la réalisation des 21 000 ha de terres aménagées comportent des risques et des impacts négatifs potentiels environnementaux et sociaux qui méritent d’être appréhendés et traités de façon rationnelle. Au regard de la nature et de l’envergure des travaux à réaliser dans la zone du projet et des exigences environnementales et sociales nationales et de la Banque Africaine de Développement (BAD) notamment, la sauvegarde opérationnelle n°2 (SO2), il s’avère nécessaire de réaliser un Plan d’Action de Réinstallation (PAR) pour prendre en charge toutes les préoccupations environnementales et sociales qui découleront de la mise en œuvre de ce projet d’aménagement. 1.1.       Description de l’aménagement incluant les activités qui occasionnent la réinstallation·      Localisation du site du projetLe site retenu est limité à l’Est par la commune de Diafarabé dans la région de Mopti, à l’Ouest par la forêt de Founou, au Nord par le fleuve Niger, et au Sud par l’axe Souleye-Payaka. La zone d’intervention du Projet est située au niveau des communes de Souleye et Macina dans le cercle de Macina.·      Descriptif du schéma d’aménagement du projet du périmètreLe Programme d’Investissement Prioritaire (PIP) vise l’aménagement d’une superficie maximale de 21 000 ha dans les plaines du Delta 2. Le schéma d’aménagement retenu consiste en :-        l’aménagement d’une superficie de 20 000 ha en submersion contrôlée ;-        l’aménagement de 1 000 ha en maîtrise totale de l'eau.1.2.       Objectifs du Plan d’Action de Réinstallation (PAR)L’objectif général du présent Plan d’Action de Réinstallation (PAR) est de préparer un plan de déplacement et de compensation des personnes affectées en conformité avec la sauvegarde opérationnelle n°2 (SO2), de la BAD.Le PAR doit permettre de bonifier le projet concerné en confortant les impacts positifs et en transformant certains impacts négatifs en opportunités de développement.Les objectifs spécifiques visés par le présent plan de réinstallation sont les suivants :·     (i) minimiser, dans la mesure du possible, la réinstallation involontaire et l’acquisition de terres, en étudiant toutes les alternatives viables dans la conception du projet ;·     (ii) s’assurer que les personnes affectées soient consultées et aient l’opportunité de participer à toutes les étapes charnières du processus d’élaboration et de mise en œuvre des activités de réinstallation involontaire et de compensation ;·     (iii) s’assurer que les indemnisations soient déterminées en rapport avec les impacts subis ;·     (iv) s’assurer que les personnes affectées, incluant les personnes qui sont vulnérables, soient assistées dans leurs efforts pour améliorer leurs moyens d’existence et leur niveau de vie, ou du moins de les rétablir, en termes réels, à leur niveau d’avant le déplacement ou à celui d’avant la mise en œuvre du projet, selon le cas le plus avantageux pour elles ; ·     (v) s’assurer que les activités de réinstallation involontaire et de compensation soient conçues et exécutées en tant que programmes de développement durable, fournissant suffisamment de ressources d’investissement pour que les personnes affectées par le projet aient l’opportunité d’en partager les bénéfices.·                1.3 Principales conclusions du PARDans le rapport, tous les aspects ayant trait aux Personnes Affectées par le Projet (PAP) ont été pris en compte et soigneusement analysés.Selon la typologie des biens impactés par le projet on peut citer : les bâtisses et annexes impactées dans les emprises du projet ; leseffectifs des arbres privés impactés dans les emprises du projet ; les arbres du domaine public impactés ; les cultures et superficies des cultures impactées et les pertes de productions agricoles.Selon le régime foncier dans l’aire d’influence du projet, l’analyse a été basée sur le domaine public et privé de l’Etat, le domaine public et privé des collestivités territoriales, le patrimoine des autres personnes physique et morales, le droit coutumier et les procédures d’expropriation du Mali.Les dispositions constitutionnelles considérées sont celles relatives à la loi fondamentale, le code foncier et domanial, l’expropriation pour cause d’utilité publique, la loi n°02-006 du 31 janvier portant  code de l’eau.Pusieurs fiches de renseignement ont été élaborés dont la fiche individuelle d’entente PAP-Promoteur pour assurer la satisfaction des PAP.Le présent Plan d’Action et de Réinstallation (PAR) des populations susceptibles d’être affectées par l’aménagement hydro-agricoles des 21 000 ha dans le cadre du Projet de Développement Intégré et de Résilience Climatique dans les Plaines du Delta 2 (PDIR – PD2) en zone Office Riz Ségou dans la région de Ségou, a permis d’identifier 285 personnes affectées dont 276 hommes et 09 femmes ayant des biens ou installées dans l’emprise du site du projet.En dépit des énormes impacts positifs du projet, les travaux d’aménagement occasionneront des impacts sociaux négatifs sur les personnes et les biens, ainsi que les animaux.Des mesures d’indemnisation et de compensation sont prévu dans e cadre de ce PAR pour atténuer voire supprimer ces impacts sociaux négatifs. La viabilité technique, environnementale, économique et sociale du projet d’aménagement des 21 000 ha de terres dans les plaines du Delta 2 est incontestable à travers les différentes études réalisées (APS, APD, EESS, EIES, AGR, etc.) et n’est plus à démonter.NB : le PAR est disponible à la Direction Générale de l’OFFICE RIZ SEGOUBP : 94, Quartier Administratif, Ségou, République du MaliTel: 00223 21 320 326 ; Fax: 00223 21 320 457                                                   Cellule de Communication MDR RETOUR EN IMAGES

07 Oct, 2022
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Lancement de la campagne de commercialisation du Soja.

Le ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA, annonce très prochainement le premier coup de faucille pour la récolte du Soja au Mali. La salle de conférence du département rural a servi de cadre au lancement de la campagne de commercialisation du Soja, ce jeudi 06 octobre 2022. Les travaux ont été présidés par le ministre du Développement Rural M Modibo KEITA, en présence des représentants des directeurs des Banques de la BMS, BNDA, FGSP, BDM ; du président du comité de Suivi Technique de la filière Soja, des directeurs des services centraux et régionaux du ministère du Développement Rural ; des représentants des partenaires qui interviennent dans le domaine.Cette rencontre qui a regroupé l’ensemble des acteurs de la filière du Soja, permettra d’identifier les acquis dans le cadre de la commercialisation du Soja. Le ministre Modibo KEITA a rappelé que cet évènement est une première dans l’histoire de notre agriculture, et cela représente « une grande avancée pour notre système de production car il contribue à diversifier nos cultures et donner plus de choix à nos producteurs et transformateurs des produits agricoles », ajoutera-t-il. Il a évoqué les crises sur les marchés des produits alimentaires, qui selon lui, doivent nous amener à poser des questions réelles sur nos méthodes et pratiques traditionnelles qui ont toujours conduit nos systèmes de production. Au nombre des avantages de la culture du Soja le ministre a cité entre autres : le soja comme légumineuse nécessaire dans la rotation culturale en particulier du coton pour améliorer la fertilité des sols. Dans un environnement de difficultés d’approvisionnement en engrais minéraux cet apport naturel jouera un rôle important dans la recherche de l’agriculture durable à laquelle nous ne pouvons-nous soustraire ; le soja contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle. En conclusion, le ministre Modibo KEITA a lancé un appel pressant à tous les acteurs de la filière pour la réussite de la campagne de la commercialisation. Il s’est aussi adressé au système bancaire et au système financier décentralisé pour appuyer cette première campagne en vue d’encourager les producteurs et à faire toujours au cours des campagnes futures. En terminant ses propos, il a remercié tous les partenaires qui œuvrent au développement économique et social du Mali. Il est à rappeler que la présentation du Soja et ses potentialités ont été respectueusement faites par M. Youssouf TRAORE et Maxime TRAORE. A la fin de la cérémonie, M. Youssouf TRAORE a remis symboliquement le kit de commercialisation Soja au ministre du Développement Rural M Modibo KEITA.                                                  Cellule de Communication MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

07 Oct, 2022
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Célébration de la Journée Mondiale du Coton ce 07 Octobre 2022 à Rome

Le Ministre du Développement Rural M Modibo KEITA participe ce vendredi 07 octobre 2022 en vidéoconférence à la journée mondiale du Coton qui se tient à Rome. Thème retenu: Tisser un avenir meilleur pour le coton. Il s’agit d’une rencontre de haut niveau avec les acteurs de la filière coton en vue de reconnaître l'importance du coton au niveau mondial. Le coton est un produit de base mondial cultivé dans plus de 75 pays sur cinq continents et négocié dans le monde entier. La célébration de la Journée mondiale du coton, le 7 octobre, est l'occasion de mettre en avant son rôle dans la création d'emplois et le maintien de la stabilité économique dans les pays les moins avancés (PMA). Elle a pour objectif de promouvoir des politiques commerciales durables et de permettre aux pays en développement de tirer parti de toutes les étapes de la chaîne de valeur du coton. De son bureau à Bamako, le Ministre Modibo KEITA participe à la table ronde sur la thématique : l’Innovations et marchés en faveur d’un secteur de coton durable en Afrique et en Amérique Latine : Contributions de la coopération Sud-Sud. Ainsi le Ministre du Développement Rural a présenté les avancées engrangées par la compagnie Malienne pour le développement des textiles (CMDT). Surtout que lors de la campagne 2021-2022, grâce aux efforts de la CMDT, le Mali s’est hissé sur le toit de l’Afrique en devenant le premier producteur de Coton du continent avec un record de production de plus de 760 000 tonnes. A signaler que l'initiative de la Journée mondiale du coton est née en 2019, lorsque quatre producteurs de coton d'Afrique subsaharienne – le Bénin, le Burkina Faso, le Tchad et le Mali, connus sous le nom de Coton-4 (C-4) – ont proposé à l'Organisation mondiale du commerce de célébrer la Journée mondiale du coton le 7 octobre.                                                  Cellule de Communication MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

06 Oct, 2022
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Cérémonie de la Journée d’Information sur le Plan d’Investissement de l’initiative Main dans la Main au Mali.

Le ministre du Développement Rural, M. Modibo KEITA, a présidé ce jeudi 06 octobre 2022, au Centre International de Conférence de Bamako (CICB), la rencontre d’information sur le Plan d’Investissement de l’initiative Main dans la Main au Mali.Il avait à ses côtés M. Mamadou Mansour N’DIAYE, représentant de la FAO au Mali. La cérémonie a enregistré la présence de plusieurs personnalités, de personnes et acteurs intervenants dans le secteur agricole. Etaient aussi présents : les représentants du système des Nations Unies au Mali ; des représentants des partenaires techniques et financiers ; des acteurs de la coopération bilatérale ; des élus locaux et les organisations de la société civile ; des représentants des services techniques et du secteur privé.Main dans la main est une initiative des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) qui vise à accélérer la transformation agricole et le développement durable. L’initiative Main dans la Main contribue à l’élimination de la faim et de la malnutrition sous toutes ses formes.Il s’agit d’un projet financé à hauteur de 36 272 000 000 FCFA.A l’ordre du jour de cette session plusieurs points importants, à savoir déterminer les choix d’investissements les mieux adaptés tenant compte des spécificités nationales, des opportunités d’investissement à saisir sur le plan interne et externe permettant de mobiliser de façon conséquente les ressources et les moyens humains, techniques, logistiques, mais aussi de l’attractivité pour le secteur privé ; adapter l’approche d’intervention à l’objectif d’inclusion socioéconomique des exploitations familiales et des petits producteurs, en particulier les femmes et les jeunes, ainsi que des initiatives entrepreneuriales ; définir les stratégies permettant de renforcer la résilience des systèmes de production face aux effets du changement climatique.Le ministre du Développement Rural s’est réjoui de l’organisation de cet évènement car, dit-il : « cet important atelier offrira l’opportunité de présenter les résultats atteints par le programme, d’échanger sur les voies et moyens d’une opérationnalisation réussie de l’initiative, d’informer sur le forum de l’investissement à Rome et d’obtenir l’adhésion et l’engagement de tous les partenaires intéressés ».Le ministre Modibo KEITA martelant, d’une part, de multiples défis auxquels se heurte le secteur agricole au Mali et bénéficiant, d’autre part, de l’accompagnement de nombreux partenaires, « la FAO a retenu le Mali au titre des pays pilotes de la nouvelle Initiative Main dans la Main, lancée en 2019 » s’est –il félicité.Le chef du département rural a rappelé que la vision du département du Mali s’appuie sur deux piliers à savoir la modernisation des exploitations agricoles familiales orientées vers le marché et l’intensification, la diversification la création de synergies intersectorielles dans les grands bassins de production agricoles en vue d’assurer le développement des agropoles connectés au marché national, régional et international.Le numéro un du monde rural en concluant ses propos, a remercié la FAO et tous les partenaires techniques et financiers qui assistent le gouvernement du malien à travers le financement et la mise au point d’approches novatrices permettant la sécurisation des moyens d’existence des populations.Au Nom du directeur général de la FAO et à son nom propre, le représentant de la FAO Mansour N’Diaye a exprimé ses remerciements pour la contribution des participants aux échanges. Il a aussi salué le leadership du ministre du développement rural, qui s’est investi depuis le lancement de cette initiative jusqu’à nos jours.« Cette initiative vise surtout à travailler avec des pays qui sont en train de mettre en œuvre les objectifs du développement, en particulier l’objectif du développement 1 sur la pauvreté à éliminer, et l’objectif de développement 2 sur la faim et la malnutrition également à éradiquer sous toutes ses formes. C’est une initiative qui vise à répondre à un besoin critique dans les opérations de développement en milieu rural » a expliqué entre autres le représentant de la FAO au Mali, M. Mamadou Mansour N’DIAYE.                                                   Cellule de Communication MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

20 Sep, 2022
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Réunion d’échanges du conseil élargi de cabinet du ministère du Développement Rural pour la validation du projet du document portant plan Marshall 2022-2024 dans le secteur agricole

La réunion d’échanges du conseil élargi du cabinet axée sur la validation du projet portant plan Marshall 2022-2024 dans le Secteur Agricole a eu lieu, ce lundi 19 septembre 2022, à la Direction des Finances et du Matériel du Secteur du Développement rural (DFM-SDR), en présence de tous les acteurs du monde rural.  Les travaux ont été présidés par le ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA et le ministre délégué auprès du ministre du Développement Rural chargé de l’Elevage et de la Pêche M. Youba BA. L’idée est de est de faire du Mali une puissance agricole sous régionale où le secteur agricole sera le moteur de l’économie nationale, assurant  également la sécurité alimentaire des populations urbaines et rurales et générant des emplois et des revenus significatifs dans une logique de développement durable respectueux de l’environnement. A cette occasion le ministre du Développement Rural a situé l’évènement dans son contexte expliquant du coup que le plan Marshall adopté par les Etats-Unis après la 2ème guerre mondiale consistait à aider la population européenne à faire face à la misère de l’après –guerre. Puis de révéler « tant que nous ne trouvions pas de solutions aux importations, les subventions nous ne servirons pas », a- t –il déploré. Le ministre du département rural a rappelé l’importance de l’économie malienne soulignant qu’elle repose essentiellement sur le Secteur Agricole qui occupe environ 80% de la population active et contribue pour près de 35% du Produit Intérieur Brut (PIB). « L’objectif global assigné par le département rural par les plus hautes autorités de la transition, est de « faire du Mali une puissance Agricole sous régionale, où le Secteur Agricole reste au cœur de l’économie nationale » a précisé le ministre Modibo KEITA. Pour le chef du département rural l’urgence est de faire face à des défis majeurs tels que le développement et la promotion de l’irrigation de proximité ; l’équipement des exploitants Agricoles avec un focus sur l’acquisition des technologies adaptées ; l’accès aux marchés à travers l’agro-industrie ; le respect des normes sanitaires et phytosanitaires; l’accroissement de la production Agricole capable de réduire à court et moyen termes la pauvreté rurale ; la sécurisation des producteurs Agricoles, des exploitations et des infrastructures ; la sécurisation des terres d’expérimentation de recherche Agricoles. Au nombre des défis qui handicapent le développement harmonieux et cohérent de notre Secteur Agricole, il a invité les différents acteurs de concevoir  et mettre en application entre autres des réponses appropriées à court et moyen termes selon les priorités ci-après : accélérer le rythme des aménagements hydro-agricoles (élaboration du PNIP2) ; restructurer les filières Agricoles porteuses (végétales, animales et halieutiques) ; promouvoir les cultures fourragères à travers l’introduction de nouvelles variétés à haut potentiel fourrager ; mettre l’accent sur certains produits de cueillette ( gomme arabique, karité , Néré) ; développer les agropoles pour promouvoir l’entreprenariat Agricole ; mettre en place un suivi rapproché de certaines maladies animales qui handicapent la valorisation du cheptel malien ; promouvoir l’horticulture dans le péri-urbain et les zones rurales ; poursuivre le programme national d’insémination artificielle ; assurer l’amélioration et le maintien de la fertilité des sols ; améliorer le  conseil Agricole  à travers l’élaboration du Système national du conseil agricole ;  lancer les bases de la réalisation du recensement Général  Agricole (RGA). A la fin de son intervention, le ministre du Développement Rural a exprimé  toute sa reconnaissance  aux autorités de la transition. Au nom de tous les acteurs du monde agricole et en son nom propre, il a remercié le Président de la transition et le chef du gouvernement pour leur vision claire et nette des défis auxquels notre pays est confronté. Pour rappel, le document transformation accélérée de l’agriculture au Mali à travers un plan Marshall sur la période 2022-206 a été présenté par la Cellule de la Planification des Statistiques du Secteur du Développement Rural (CPS-SDR). Des observations, des propositions d’amendement et des recommandations ont été faites.                                                    Cellule de Communication MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

12 Sep, 2022
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Commémoration de la 37ème journée du Comité Permanent Inter Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSSS)

Le ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA à l’ouverture des travaux : « l’évènement qui nous réunit est d’une grande importance pour le ministère du développement rural car, l’approche SHEP  constitue une approche innovante dans l’appui au secteur agricole ».La salle de conférence du ministère du Développement Rural a servi de cadre, le lundi 29 Août 2022 au lancement du « projet pour la promotion d’une agriculture axée sur le marché à travers l’extension de l’approche SHEP c’est-à-dire en anglais Smallholder Horticulture Empowerment and Promotion « renforcement des capacités des petits producteurs horticoles ». Objectif : l’approche SHEP vise à contribuer à l’amélioration des revenus des petits producteurs à travers la promotion de l’agriculture orientée vers le marché par la diffusion de l’approche SHEP.Ce lancement permet aux acteurs de connaitre davantage le projet, d’échanger sur les activités à réaliser.Les travaux ont été présidés par le ministre du Développement Rural, M. Modibo KEITA. Lequel était entouré du chef de la mission adjoint de l’ambassade du Japon au Mali Fukuhara Koji, en présence des représentants de la profession agricole et de nombreux invités.Le coût du Projet est estimé à 422 millions de FCFA approuvé, le 1er août 2022, par le Japon sur le fonds de contrepartie de l’assistance alimentaire non remboursable. La durée du projet est de 02 ans. Ce projet s’inscrit dans le cadre de la coopération économique bilatérale non-remboursable du Japon en faveur du peuple malien. Le nombre de bénéficiaires s’élève à environ 3000 personnes.Parlant du « projet pour la promotion d’une agriculture axée sur le marché à travers l’extension de l’approche SHEP,  le ministre du Développement Rural a signalé que l’évènement est d’une grande importance pour le ministère du Développement Rural car, indique t – il,  l’approche se donne comme premier souci l’amélioration des techniques de l’agriculture à travers le renforcement des capacités des producteurs. En outre, la méthode se distingue des autres approches par sa particularité basée sur la connaissance permanente du marché, l’établissement de lien étroit entre les agriculteurs et les autres acteurs du marché du produit agricole. » Pour le ministre Modibo KEITA, l’activité agricole est à juste titre un business. « La stratégie dans le système de production basée sur la connaissance des données du marché en termes de qualité requise, de prix et de leur variation en fonction des périodes.Le ministre expliquera ensuite que cette approche s’inscrit dans la vision du gouvernement en matière de politique agricole fondée sur la loi d’orientation agricole, la politique de développement agricole et le plan national d’investissement dans le secteur agricole. Par ailleurs, il a laissé entendre que c’est la restitution de la formation reçue du renforcement de capacités qui a suscité un grand intérêt auprès des responsables du département rural. Ainsi un comité de pilotage pour expérimenter une phase pilote dans le cercle de Kati a été  mis en place. « Le succès obtenu dans cette expérience a permis la réalisation de plusieurs autres activités avec le soutien technique et financier de JICA au Sénégal. Au regard de tous les avantages que notre agriculture peut tirer de l’approche SHEP au profit des producteurs , le département a conçu et élaboré un projet sur la promotion d’une agriculture axée sur le marché à travers l’extension de l’approche SHEP.Le ministre du développement rural, au nom du président de la transition et de son premier ministre a  exprimé ses remerciements aux partenaires techniques et financiers et particulièrement au gouvernement du Japon.Le chef de mission adjoint de l’ambassade du Japon au Mali M. Koji FUKUHARA, au nom du gouvernement et du peuple Japonais, s’est réjoui de coprésider le lancement officiel du « projet pour la promotion d’une agriculture axée sur le marché à travers l’approche SHEP car, dit-il, il s’inscrit dans le cadre de la coopération économique bilatérale non-remboursable du Japon en faveur du peuple malien. «Développée au Kenya depuis 2006, l’approche SHEP a été introduite dans 26 pays africains, dont le Mali, par l’Agence Japonaise de Coopération internationale (JICA) dans le cadre de la coopération technique. Elle contribue à promouvoir une « agriculture orientée vers le marché » et à changer le paradigme de « cultiver et vendre » à « cultiver pour vendre » a expliqué entre autres M. Koji FUKUHARA. Puis d’ajouter : «elle permet aux producteurs d’être plus autonomes par un changement de comportement et de résoudre le problème persistant de la commercialisation des produits agricoles en général et des produits horticoles en particulier ».En conclusion, le chef de mission de l’ambassade du Japon au Mali à rassurer de la ferme détermination du Japon à continuer d’apporter son appui constant aux efforts de stabilisation et de développement socio-économique du Mali.Le directeur national de l’agriculture M. Oumar TAMBOURA a, pour sa part, remercié la collaboration étroite entre sa structure et l’association Sassakawa pour l’Afrique, qui selon lui, grâce à cette collaboration le projet a été introduit au Mali.«Le département a mis en place un comité de pilotage. La phase pilote a été réalisée dans le cercle de Kati » a souligné le directeur national de l’agriculture. Il a, par ailleurs, remercié les exploitants agricoles particulièrement les femmes, qui exercent la culture maraichère dans le cercle de Kati et qui ont conduit avec efficacité la phase pilote. Le directeur a n’a pas oublié de remercier la JICA  qui n’a ménagé aucun effort pour accompagner la mise en œuvre du projet.                                                                    Cellule de Communication MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant