Elevage

Cérémonie de lancement du Programme d’appui à la Compétitivité de l’Afrique de l’Ouest (PACAO-MALI) et son Devis Programme.

La cérémonie de lancement du PACAO-MALI a eu lieu, le jeudi 28 Avril 2022, à l’hôtel Radisson Ex Sheraton de Bamako, sous la présidence du premier responsable du département rural M. Modibo KEITA. La rencontre a enregistré la présence de tous les acteurs impliqués dans la mise en œuvre pour l’exécution judicieuse dudit programme. Etaient aussi présents : le secrétaire général du département M. Daniel Siméon KELEMA, le Coordinateur du Projet M. Souleymane Bassolé, les partenaires techniques et financiers, les représentants des Interprofessions bénéficiaires du PACAO.Pour rappel, le PACAO est un programme régional couvrant la Mauritanie, et les 15 pays de la CEDEAO.Il vise à :- renforcer les capacités productives des chaînes de valeur des filières ciblées, afin d’accroître leur compétitivité sur les marchés. Les filières cibles sont : la filière Mangue, la filière Viande bétail, filière Karité, filière horticole.Le volet Mali couvre les régions de Kayes, Koulikoro, Sikasso, et le District de Bamako. La durée du projet est de 36 mois pour un montant de 5 millions et demi d’euros.Le ministre en charge du Développement Rural a souligné que lancement dudit projet est l’aboutissement d’un long processus participatif ayant impliqué l’ensemble des acteurs concernés par le développement des chaînes de valeur aux filières ciblées par le programme de compétitivité en Afrique de l’Ouest PACAO. « Il vise à renforcer la capacité productive des chaînes de valeur des filières ciblées afin d’accroitre leur compétitivité sur les marchés ; renforcer le positionnement des produits sur le marché national et international par l’amélioration de la qualité et l’appui aux organes publics et aux opérateurs privés impliqués dans la promotion des chaînes de valeur » s’est réjoui le ministre Modibo KEITA.Le PACAO contribuera aussi au renforcement et à la création d’au moins 4.600 emplois directs sur les filières cibles, au renforcement des capacités (i) du ministère de l’entreprenariat national de l’emploi et de la formation professionnelle dans le cadre de l’organisation de la semaine mondiale de l’argent , (ii) de l’Assemblée Permanente des chambres d’Agriculture (APCAM) , (iii) de la Direction Nationale des industries (DNI) , (iv) de l’Agence de la Promotion des Exportations (APEX) et (v) du Centre Malien de la Promotion de la Propriété Intellectuelle (CEMAPI).Le programme est financé par l’Union Européenne à travers son programme indicatif régional et sera mis en œuvre à travers deux modalités complémentaires, à savoir un contrat d’assistance technique : contrat dit de délégation attribué à l’expertise France par la délégation de l’Union Européenne.Pour le volet renforcement des capacités et des acteurs de terrain des filières retenues, et un Devis programme pour l’appui institutionnel aux services techniques accompagnateurs mis en œuvre par le ministère du développement rural. « Les filières retenues sont les suivantes : filière mangue, filière viande de bétail, filière Karité et de la filière horticole » s’est –il félicité.Le ministre du Développement Rural a, au nom du président de la transition, du Premier ministre, remercié la délégation de l’UE au Mali pour le financement du programme PACAO et son devis programme pour un montant total de 5 millions 500 mille euros soit plus de 3 milliards de francs CFA.Pour le représentant de l’ambassadeur de l’UE au Mali M. Barth OUVRY, « le but du programme, c’est de relier le producteur aux marchés internationaux. En aidant les producteurs à mieux répondre aux normes techniques et de qualité, nous allons avoir une meilleure rentabilité, et par conséquent une meilleure compétitivité pour les produits maliens. Et ainsi, on crée des emplois pour stabiliser le pays » a- t-il expliqué en substance.Le Chef du Projet PACAO – MALI, M. Souleymane Bassolé a, quant à lui, présenté les objectifs du Projet au ministre du développement rural.Cellule de communication MDR #CCOM  RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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Lancement de la 14e édition de l’opération de vente promotionnelle de bovins à l’occasion de la fête de ramadan

Le terrain Chaba de Lafiabougou en commune IV du District de Bamako a servi de cadre, ce lundi 25 Avril 2022, au lancement de la 14ème édition de l’opération promotionnelle de bovins à Bamako et dans certaines capitales régionales du Mali, sous la présidence du ministre du Développement Rural, M. Modibo KEITA, accompagné du ministre délégué auprès du ministre du Développement Rural, chargé de l’Elevage et de la Pêche, M. Youba BA. Cette occasion a regroupé les responsables des structures nationales en charge de l’Elevage et de la Pêche et des responsables en charge de l’organisation de l’opération de vente promotionnelle et de plusieurs autres acteurs. « L’Elevage facteur de croissance Economique et de Stabilisation Sociale », tel est le thème de cette 14ème édition. Pour rappel, au Mali, le sous-secteur de l’élevage contribue à hauteur de 19% au PIB National. Il est le 3ème produit d’exportation après l’or et le coton. Notre pays dispose d’un important effectif de cheptel. Ce qui lui confère du reste la 1ère place dans la zone UEMOA et la 2ème place dans l’espace CDEAO après le Nigéria. Pour cette 14ème édition, l’opération a débuté le 22 Avril et se poursuivra jusqu’au 1er Mai 2022 à Bamako et dans les capitales régionales notamment Kayes, Sikasso, Ségou et Mopti. L’objectif visé est de mettre sur le marché près de 2530 têtes dont 1 500 têtes dans le District de Bamako, 400 dans la ville de Kayes, 230 dans la ville de Sikasso, 200 dans la ville de Ségou et 200 dans la ville de Mopti. Les fourchettes de prix varient de 200 000 FCFA à 350 000 FCFA. Le ministre du Développement Rural, s’est réjoui de « cette opération de grande portée économique et sociale pour les communautés rurales et urbaines, qui permettra d’approvisionner les populations des grands centres de consommations en animaux de boucherie de qualité à des prix abordables. Elle permettra aussi d’améliorer les revenus des organisations d’éleveurs et d’agro-éleveurs, grâce à la vente directe, ne nécessitant point l’intervention d’un intermédiaire quelconque. « Puis ajoutera-t-il « l’organisation de cette vente promotionnelle traduit aussi l’engagement du gouvernement de la République du Mali de fédérer les ressources et les synergies afin de promouvoir les filières animales, dans la perspective d’augmenter leurs revenus, et de répondre aux besoins de consommations des populations en produits animaux de qualité dont les prix appliqués défient toute concurrence. Le Ministre du Développement Rural a souligné que son département est favorable à œuvrer à leurs côtés pour renforcer les actions entreprises sur le terrain et de faire en sorte que les ressources et des moyens suffisants soient mobilisés pour la promotion de l’élevage. Il a laissé entendre que cet engagement sera bientôt traduit par l’élaboration et la mise en œuvre de la Loi de Programmation des Investissements à moyen termes et des dépenses publiques dans le Secteur Agricole (LPI-SA), condition indispensable permettant d’augmenter considérablement la contribution du sous-secteur de l’élevage à la croissance économique du pays et d’améliorer la qualité et la compétitivité des produits d’élevage sur les marchés extérieurs. Le chef du département rural a exprimé des encouragements et remerciements à l’endroit de tous les acteurs et intervenants de la filière bétail/viande. Le représentant du chef du quartier M. Souleymane TRAORE a souhaité la bienvenue aux ministres dans leur commune pour le lancement de la 14ème édition. Au nom de la population, il s’est dit satisfait et fier du déroulement de cette opération de vente promotionnelle de bovins pour le bien-être de la population. Le maire de la commune IV du district de Bamako M. Modibo KEITA a aussi abondé dans le même sens. Puis d’ajouter « c’est une tradition bien ancrée pour permettre à la population de Bamako d’avoir des animaux à prix abordable défiant toute concurrence. Le représentant des producteurs M. Amadou TRAORE a, quant à lui, salué et remercié tous les acteurs qui sont impliqués de près ou de loin dans cette opération de vente promotionnelle. Il a souligné les difficultés que pasteurs rencontrent par rapport à l’obtention et à l’approvisionnement de l’aiment bétail. Il a promis d’accompagner toutes les actions de la transition tendant à soulager la souffrance des populations. A la fin de la cérémonie, les ministres ont eu droit à la visite des parcs à bétail. CCOM MDR/MDEP RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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9ème Session du Conseil de Surveillance du Projet de Développement et de Valorisation de la Production Laitière au Mali (PRODEVALAIT)

La 9ème Session du Conseil de Surveillance du Projet de Développement et de Valorisation de la Production Laitière au Mali, s’est tenue ce mardi 19 Avril 2022 dans la salle de conférence dudit Projet. La cérémonie présidée  par le ministre délégué auprès du ministre du développement rural, chargé de l’Elevage et de la Pêche M. Youba BA, s’est déroulée en présence des administrateurs. Les participants à cette 9ème Session ont examiné l’état de mise en œuvre des recommandations de la 8ème Session ordinaire ; les rapports d’activités et financiers de 2021 ; et le Programme d’Exécution Technique et Financière 2022. Le Projet du budget 2021 du PRODEVALAIT est de 172 073 000FCFA dont 103 912 000 FCFA au titre du budget spécial d’Investissement (BSI) et 68 161 000 FCFA comme contribution de la Coopération Suisse. Le taux d’exécution  est de 96% au 30/12/2021. Il est à  signaler que le PRODEVALAIT de façon globale vise à contribuer à l’autosuffisance en lait et produits laitiers à travers : L’augmentation de la collecte de lait de 30% ; la réduction du volume des importations du lait en poudre et des produits laitiers de 23%. Quant aux objectifs spécifiques, le Projet vise entre autres à améliorer le niveau d’organisation et de structuration des acteurs de la filière lait ; améliorer la production et la compétitivité du lait local ; renforcer les capacités de collecte et de conservation du lait local ; créer un environnement global incitatif pour la promotion du lait local. A cette occasion le ministre en charge de l’Elevage et de la Pêche a rappelé son engagement de poursuivre  la dynamique enclenchée depuis des années dans le domaine de la promotion des chaines de valeurs du lait local. Il a évoqué le contexte socioéconomique et sécuritaire difficile auquel ont été confrontés  les acteurs de la filière lait. En soulignant de passage que  « la conjonction de ces facteurs exogènes, affecte considérablement les conditions de vie et les moyens d’existence des communautés pastorales et des acteurs intervenant à différents niveaux des maillons de transformation et de commercialisation de la filière lait. Le ministre Youba BA, au cours de l’année 2021, malgré la crise économique et sanitaire, s’est réjoui des  réalisations  enregistrées par le PRODEVALAIT, à savoir entre autres l’ouverture des centres de collecte de Djenné, Socoura, Douentza, Ténenkou, et Youwarou dans la région de Mopti et de Diré et Tonka dans les régions de Tombouctou ; la formation de 30 acteurs de la chaîne de valeur lait des régions de Mopti et Tombouctou, sur les outils de gestion des magasins de stockage de fourrages ; le renforcement des capacités de 30 producteurs des sociétés coopératives de Djenné, Socoura, Douentza, Ténenkou et Youwarou dans la région de Mopti et Diré et Tonka dans les régions de Tombouctou en vie coopérative ; la formation de 78 producteurs dont 36 femmes des sociétés coopératives de Mopti et Tombouctou sur l’utilisation des matériels et équipements de transformation de lait ; le suivi de la collecte de 10 103 tonnes de lait dans 126 centres et points de collecte aménagés. Le ministre en charge de l’Elevage et de la Pêche a remercié l’ensemble des acteurs et les partenaires techniques et financiers et les a invités à accompagner et à s’impliquer fortement dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de valorisation du lait cru local, afin de permettre à notre pays de satisfaire aux besoins de consommation locale en lait et produits laitiers. CCOM MDEP RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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Signature de deux projets de convention entre le ministère du Développement Rural et l’Agence

La salle de conférence du ministère du Développement Rural a servi de cadre, ce lundi 28 mars 2022, à la signature de deux importantes conventions entre le ministère du Développement Rural et l’Agence de la Coopération Brésilienne. La première porte sur le projet augmentation du potentiel de production de viande bovine au Mali et la seconde sur le projet augmentation du potentiel de la pisciculture au Mali. Les travaux ont été présidés par le ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA, en compagnie de son collègue ministre délégué auprès du ministre du Développement Rural chargé de l’Elevage et de la Pêche M. Youba BA, en présence de son excellence l’ambassadeur du Brésil au Mali, des membres de la délégation brésilienne et des cadres du département rural. Les budgets sont estimés à deux milliards quatre cent quatre-vingt-dix-neuf millions huit cent cinquante-sept soixante-dix-huit dollars US pour l’Elevage et un milliard deux cent trente-deux millions trois cent soixante-dix mille dollars US pour la pisciculture, et sont entièrement pris en charge par la partie Brésilienne. Selon son Excellence l’ambassadeur du Brésil au Mali, M. Carlos EDWARDO, le projet sur l’augmentation de la viande bovine travaillera avec les techniciens du ministère et les producteurs à Sikasso sur les aspects de l’amélioration de l’alimentation et de la génétique du bétail. « Ils travailleront aussi sur des techniques afin que la viande produite respecte les exigences des normes internationales ». Le 2ème projet de coopération, qui porte sur la pisciculture soutiendra la diffusion des techniques de l’alimentation des poissons et des techniques de l’Elevage dans les bassins de façon à améliorer la productivité. Le ministre du Développement Rural s’est réjoui de cette Coopération Brésilienne. « Elle s’inscrit en droite ligne du développement de la coopération sud-sud et de la diversification des partenaires techniques du ministère du développement rural » a prononcé le ministre Modibo KEITA. Le ministre du département rural a rappelé que le projet « augmentation du potentiel de production de viande bovine au Mali (Mali-Elevage) » et le projet « alimentation du potentiel de la production de la pisciculture au Mali » se fixent comme objectifs globaux, à savoir pour la pêche augmenter les exportations de la viande bovine au Mali ; pour la pisciculture augmenter la sécurité alimentaire et nutritionnelle de la population malienne. Quant aux objectifs spécifiques, en ce qui concerne l’élevage, il s’agira d’augmenter la production et la productivité en viande bovine de qualité dans la zone périurbaine de Bamako et dans la région de Kayes ; pour la pisciculture il s’agira d’augmenter la production des poissons dans la zone périurbaine de Bamako et dans les zones de Koulikoro et Sélingué. Au nom du Président de la transition, chef de l’Etat, le colonel, Assimi GOITA, du Premier Ministre Dr Choguel Kokalla MAIGA, le ministre du développement rural a remercié l’ensemble des membres du gouvernement pour tous les efforts consentis afin de renforcer et développer la Coopération entre nos deux pays. Les signatures, côté malien, ont été signées par le ministre du développement rural M. Modibo KEITA et au compte de la partie Brésilienne par son Excellence l’ambassadeur du Brésil au Mali M. Carlos EDWARDO. CCOM MDR/MDEP RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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7ème Session Ordinaire du Conseil d’Administration de l’Agence d’Aménagement des Terres et de Fourniture de l’Eau d’Irrigation (ATI)

L’Agence d’Aménagement des Terres et de Fourniture de l’Eau d’Irrigation (ATI) a tenu sa 7ème Session Ordinaire du Conseil d’Administration dans la salle de réunion de sa structure, sous la présidence du ministre du développement rural, M. Modibo KEITA, ce mardi 17 février 2022. L’évènement a enregistré la présence du Président Directeur Général de l’ATI, M. Altanata Ebalagh YATTARA, ainsi que les administrateurs, qui avaient pour tâches, entre autres :  la validation du procès-verbal de la 6ème Conseil d’Administration, de l’état de la mise en œuvre des recommandations de la dernière session du Conseil d’Administration, du rapport d’activités 2021, de l’état d’exécution du budget 2021, du projet de programme d’activités 2022 de l’Agence, assorti de son projet de budget. L’ATI a pour mission de contribuer à la satisfaction des besoins en terres agricoles aménagées, appuyer la réalisation des infrastructures et équipements ruraux dans les bassins de production et accompagner les producteurs dans la gestion des aménagements hydroagricoles. En souhaitant la bienvenue aux membres du Conseil d’Administration, le ministre Modibo KEITA a expliqué devant les administrateurs que l’agriculture occupe une place de choix dans l’économie nationale avec une contribution de plus de de 40% au PIB. « Le secteur agricole reste le moteur essentiel de notre développement économique, c’est pourquoi  le département du département rural avec le soutien du président de la transition, le colonel Assimi GOITA et le premier ministre Dr Choguel kokalla MAIGA œuvrent inlassablement pour apporter des changements institutionnels, techniques et technologiques et économiques nécessaires au développent des chaines de valeurs pour une agriculture moderne, durable, compétitive et respectueuse de l’environnement », a reconnu le chef du département. « L’ATI s’est surtout investi dans les études technico économiques financières et environnementales des nouveaux villages agricoles (NVA) dans les bassins de production de l’Office du Niger, de l’ODRS à Sélingué et de l’ADRS à Bafoulabé, du projet de développement de la ferme moderne à Sélingué et des périmètres maraichers dans la zone du Mandé », s’est félicité le ministre du développement rural. Par ailleurs, « l’Agence suit et supervise les projets PARIIS, PDAZAM qui visent à accélérer le rythme des aménagements hydroagricoles, faciliter l’installation des investisseurs », s’est réjoui le ministre du développement rural M. Modibo KEITA. Le Président Directeur Général de l’ATI, M. Altanata, pour sa part, s’est réjoui de la 7ème Session du CA de l’ATI car dit-il : « la présence du ministre dénote l’intérêt tout particulier qu’il attache à la promotion du monde rural et à la réalisation de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans notre pays ».  Un de vos soucis majeurs demeure la modernisation de l’irrigation et de l’entreprenariat agricole », ajoutera-t-il. Le PDG de l’ATI a soutenu que cette option est un facteur de l’émergence d’un secteur agricole équilibré, compétitif et intégré dans l’économie sous régionale. Par ailleurs, il a souligné que pour l’atteinte de de cet objectif de développement, nous nous dévons d’agir vite et efficacement. « La création de l’ATI comme EPIC, se situe dans ce cadre », a –t-l laissé entendre. Pour le PDG de l’ATI, les activités menées au cours de l’année 2021, sont pour lui un motif de satisfaction et s’inscrivent dans le programme d’actions du gouvernement de transition, à savoir la promotion de la bonne gouvernance du secteur du développement rural qui est la première richesse du pays. « L’ATI a retenu parmi ses priorités, la réalisation des nouveaux Villages Agricoles (NVA) qui sont à notre avis une opportunité à saisir pour la création d’emplois agricoles pour les jeunes et en particulier pour les jeunes ruraux », a argumenté M. Altanata Ebalagh YATTARA, Président Directeur Général d l’ATI.  CCOM MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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12ème Session du Conseil élargi de Cabinet : Plan de la Campagne Agricole harmonisé et consolidé du Secteur Agricole (Bilan 2021, la programmation 2022 et les projections de 2023 et 2024)

Le Ministre du Développement Rural, M. Modibo KEITA, a présidé, ce lundi 14 février 2022, les travaux du Plan de Campagne Agricole Harmonisé et Consolidé du Secteur Agricole. Cette rencontre qui a mobilisé au Centre International de conférence de Bamako (CICB) dans la salle Balla Moussa KEITA l’ensemble des acteurs du monde agricole, était placée sous le signe des slogans : « le Développement Rural, moteur de l’excellence économique nationale », « notre pays a toujours compté sur la performance des éleveurs et pêcheurs », « le Développement Rural vecteur de cohésion et de progrès. » A l’ordre du jour de cette session plusieurs points importants, à savoir le bilan synoptique de la campagne agricole 2021, les objectifs pour la campagne agricole 2022, les projections des objectifs pour les campagnes 2023, 2024, l’élaboration du plan de projet triennal de campagne agricole conformément à l’architecture du PNISA, la cohérence du plan avec les lois des finances 2022 et les prévisions budgétaires2023, 2024. Le ministre du Développement Rural, M. Modibo KEITA a, tout d’abord, commencé son intervention en souhaitant à tous la bienvenue à cette rencontre d’échanges du Conseil de Cabinet Elargi sur le projet du plan de campagne agricole harmonisé et consolidé du Secteur Agricole. Il a rappelé que ce document de plan de campagne définit un ensemble d’objectifs, d’activités, de stratégies cohérentes d’indicateurs et des ressources destinées à promouvoir les activités agricoles. « La rencontre d’aujourd’hui est sans doute un cadre privilégié d’échanges et de réflexions sur le bilan 2021, des prévisions pour l’année 2022 et les projections pour 2023 et 2024 entre les structures des services techniques du département du Secteur Agricole », ajoute – t –il. Reconnaissant les difficultés actuelles dans le Secteur, le chef du département dira que les défis doivent nous amenés à construire un système de planification qui répond le mieux aux aspirations de la population en général et celle de l’agriculture en particulier. Par ailleurs, « le Secteur doit assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle à travers la mise en œuvre des produits agricoles alimentaires en quantité et en qualité », a soutenu le ministre Modibo KEITA. Puis d’ajouter « aussi, les dimensions de la sécurité alimentaire et nutritionnelle sont intimement liées à l’amélioration des conditions de vie de la population, ce qui doit nous amener à produire un plan de campagne dont la cohérence de production, de consommation, de conservation et de transformation se trouvent assumer dans un système synergique de développement agricole. « Le gouvernement de la République du Mali à travers le département s’emploiera pour une bonne exécution du plan de la campagne agricole avec la participation de tous les acteurs pour l’atteinte de la sécurité alimentaire et la lutte contre la pauvreté en milieu rural », a rassuré le ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA. Le Directeur de la Cellule de Planification et des Statistiques du Secteur du Développement Rural, M. Balla KEITA, en ce qui le concerne exposé le plan triennal de la 12ème Session du Conseil élargi de Cabinet : Plan de la Campagne Agricole Harmonisé et Consolidé du Secteur Agricole. (Bilan 2021, la programmation 2022 et les projections de 2023 et 2024), assorti de questions et réponses. CCOM MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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Renforcement de la coopération entre le Mali et les Etats-Unis à travers le Programme FEED THE FUTURE (FTF)

L’objectif visé à travers ce programme FEED THE FUTURE (FTF) est de renforcer la résilience des communautés agricole dans les régions de Mopti et Tombouctou grâce à une croissance économique axée sur le marché, inclusive et sensible à la nutrition et induite par l’Agriculture. Ce programme est une initiative présidentielle des Etats-Unis contre la faim et pour la sécurité alimentaire dans le monde. C’est le Ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA, qui a présidé les travaux, en compagnie de son collegue, le Ministre Délégué auprès du Ministre du Développement Rural, Chargé de l’Elevage et de la Pêche M. Youba BA, en présence du secrétaire général du département M. Daniel Siméon KELEMA, de l’ambassadeur des Etats-Unis au Mali et des partenaires techniques et financiers. Le ministre du Développement Rural a d’entrée de jeu rappelé que cette coopération s’inscrit en droite ligne des politiques et stratégies du Mali. Elle est fondée sur le développement de la production, de la transformation et la commercialisation. Puis d’ajouter « il y a plus de 80% de notre population qui vit dans le monde rural, et c’est cette zone qui est la plus exposée à la pauvreté et à l’insécurité », a déploré le Ministre Modibo KEITA. De son point de vue, « Un jeune qui a un travail, de l’emploi, ne va pas se livrer à des actes de banditisme ». Selon lui, « l’agriculture pluviale ne nourrit plus son homme. Il faut l’agriculture irriguée. A titre d’exemples, l’office du Niger a, à peu près 02 millions d’hectares de potentiel, mais même 10% ne sont pas exploités. Le seuil de Djenné à 60 milles ha de potentialités, avec un faible taux de terre irriguée. Il faut des institutions capables d’encadrer le monde rural ». Pour le ministre, on doit établir un lien entre la production, la transformation et la commercialisation. « Il faut aller à l’irrigation de proximité afin de permettre aux producteurs de produire davantage, de développer la riziculture et de produire les aliments destinés à l’alimentation du bétail. On a besoin de renforcer la capacité de nos jeunes chercheurs car le personnel est vieillissant », a indiqué le chef du département. « Lorsque les hommes ne sont pas bien formés, l’utilisation de la technique et de la technologie ne pourront pas nous permettre d’atteindre les objectifs recherchés », a conclu en ces termes le Ministre du Développement Rural. Son Excellence l’ambassadeur des Etats-Unis au Mali Dennis B. Hankins a, pour sa part, expliqué que cette 2ème phase est très importante en termes de développement rural. « Le développement rural, c’est le passé, le présent et le futur du Mali » a- t-il rappelé.  Puis d’ajouter « c’est la majorité de la population qui ’s’est engagée dans le secteur agricole. » Puis de préciser, que ces dernières années, le secteur agricole a été confronté de plus en plus, soit par le changement climatique, la sécheresse ou l’inondation. « Il faut donc avoir les capacités à faire face à ces phénomènes », a soutenu son Excellence l’ambassadeur des Etats –Unis. Il a révélé dans le contexte du Mali, il y a eu des mouvements extrémistes, qui ont fait pression sur les communautés, qui ont bloqué l’accès au marché et ont essayé de créer des conflits entre les communautés qui ont travaillé pendant des années ensemble. « Il faut aider ces communautés pour être plus stables, actifs ; d’avoir des revenus qui peuvent créer des opportunités pour la jeunesse. Il faut créer des accords entre les communautés, comment avoir accès aux ressources naturelles et d’avoir des technologies pour obtenir une meilleure production. Avoir des petits barrages qui peuvent aider les communautés ; faire en sorte que les deux communautés d’agriculteurs et d’éleveurs puissent travailler ensemble, a expliqué entre autres son Excellence l’ambassadeur des Etats-Unis au Mali. En présentant le programme FEED THE FUTURE, M. Modibo TRAORE, a souligné que le Mali a du potentiel : la terre, l’eau et les hommes et c’est donc le cadre idéal pour permettre d’avoir une bonne production et une bonne productivité. « Les objectifs, c’est la résilience des populations ; mieux nourrir les populations et surtout les femmes et les enfants. « Pour cette phase, nous projetons d’investir 100 millions de dollars pour un durée de 05 ans », s’est réjoui M. Modibo RAORE. CCOM MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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Visite du centre d’Insémination Artificielle Animale (C.N.I.A) par le Ministre du Développement Rural.

Le Ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA, accompagné de son conseiller technique en charge de l’élevage Dr Mahamadou SYLLA a visité ce mardi 08 février le centre de l’Insémination Artificielle Animale C.N.I.A. Pour rappel, le C.N.I.A a pour mission principale de contribuer à l’accroissement des productions animales par l’utilisation de la technique de l’insémination artificielle. A ceci, il faut ajouter que le centre a aussi des missions secondaires, à savoir : – Approvisionner les centres de diffusion de l’insémination artificielle sur le terrain ; et faire en sorte que les agro éleveurs puissent accéder à ce service d’insémination artificielle.Il s’agit à travers cette visite du Ministre de s’enquérir des difficultés rencontrées, d’informer, mobiliser, sensibiliser les acteurs qui interviennent dans le domaine pour extirper les éleveurs de la pauvreté. Le Ministre du Développement Rural et la délégation qui l’accompagne ont visité le projet qui est réalisé sur une superficie de 05 hectares. Modibo KEITA a visité tour à tour les bureaux de l’administration du C.N.I.A, le laboratoire de production, la partie étable où l’on reçoit les animaux, la salle de stockage des aliments, qui sont en chantier. L’architecte du bâtiment M. Amadou Beidi DEMBELE a expliqué au ministre le lien qui existe entre l’administration et le laboratoire de production. « Le projet est accessible de deux manières. Une route principale qui accède directement à l’administration. Il y a une séparation entre l’administration et le laboratoire car selon lui, le laboratoire doit être une zone hyper sécurisée non seulement pour des accès d’hygiène mais aussi pour la sécurisation de tout ce qui est donnée », a expliqué l’ingénieur de l’infrastructure M. DEMBELE. Le Ministre du Développement Rural M. Modibo KEITA a, pour sa part, expliqué que « Le Mali a quitté un Etat de providence à un Etat libéral. Vous qui êtes les représentants de l’Etat, devriez avoir des normes, qui vous permettront d’établir des relations entre vous et les inséminateurs que vous installiez sur le terrain. Votre objectif principal, c’est de promouvoir afin que les résultats de vos actions puisent être sentis partout. Vous devrez veiller à ce que les semences que vous mettiez à leur disposition soient de qualité pour que l’objectif recherché puisse être atteint », a soutenu M. Modibo KEITA.  « En matière de rendement de vaches, le Niger nous dépasse. » Le Ministre a déploré cela et pense que nous devrons changer de stratégie afin qu’on puisse conserver les avantages que nous avions.  Le Ministre Modibo KEITA a indiqué que le C.N.I.A est une structure de l’Etat, et par conséquent les acteurs se doivent être au-dessus des agro éleveurs qu’ils encadrent car dit-il, ils doivent recevoir de vous les instructions nécessaires pour la réussite de l’activité. « Il n’y a pas de concurrence entre vous mais la complémentarité », a souligné le premier responsable du monde rural. Il a encouragé et remercié tout le personnel du C.N.I.A. « Notre élevage, c’est l’alimentation, la génétique et la santé. Si nous arrivons à établir un lien entre ces trois niveaux, nous retrouverons notre pace d’antan », a expliqué en substance M. le Ministre du Développement Rural. « Nous réfléchissons sur une loi de programmation afin que notre agriculture puisse monter en force à l’image de notre armée nationale mais avec le concours de tous », s’est –t-il félicité. Au personnel du C.N.N.A Le Ministre a rappelé que l’agriculture et l’élevage sont les mamelles de notre pays. En réussissant votre mission, vous sortirez à coup sûr les éleveurs de la pauvreté, a laissé entendre le ministre du Développement Rural.  Le directeur général du C.N.I.A a, quant à lui, présenté les différentes activités, les perspectives, les difficultés du C.N.I.A au Ministre et à sa délégation. Il a rappelé que la structure a été créée en 2015. Selon lui, le centre a essentiellement pour mission de contribuer à l’amélioration des productions animales par l’utilisation de la technique de l’insémination artificielle. Il est chargé de la production, l’exportation, l’importation, du conditionnement, de la conservation, du stockage, contrôle de qualité, distribution de semences. Le centre est chargé aussi du suivi évaluation des activités d’insémination au niveau national, le renforcement des capacités des agents inséminateurs. Le C.N.I.A a un effectif de 32 agents dont 13 cadres supérieurs. Selon lui, le cadre organique est satisfait à hauteur de 68%. Le centre a un total de 66 inséminateurs opérationnels qui sont répartis entre les unités de distribution. Nous avons un effectif de 50 stagiaires qui sont encadrés par le personnel du C.N.I.A et les inséminateurs au niveau des unités de diffusion a expliqué entre autres le directeur général du C.N.I.A M. Diakaridia TRAORE.  CCOM MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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6ème Session du Conseil d’Administration du Centre National d’Insémination Artificielle Animale (C.N.I.A)

La salle de conférence du Centre National d’Insémination Artificielle (C.N.I.A) a servi de cadre, ce jeudi 30 Décembre 2021, à la 6ème  Session de son Conseil  d’Administration. La cérémonie d’ouverture était présidée par le représentant du Ministre du Développement Rural, M. Daniel Sémion KELEMA  secrétaire général du département. Il était accompagné du directeur général du Centre National de l’Insémination Artificielle Animale, le professeur Diakaridia TRAORE et des administrateurs. Cette session permettra à ses membres de connaître davantage le C.N.IA., d’échanger sur les activités réalisées. L’évaluation du rapport d’activités 2021, l’état d’exécution financière au titre de 2021, le programme d’activités 2022 et le budget 2022. Tels étaient les principaux points inscrits à l’ordre du jour de la 6ème Session du Conseil d’Administration du C.N.I.A. Le directeur général du Centre National d’Insémination Artificielle Animale, professeur Diakaridia TRAORE, dans son intervention a indiqué que  la mission principale du C.N.IA, c’est de contribuer à l’accroissement des productions animales par l’utilisation de la technique de l’insémination artificielle. A côté de cela,  Le centre a aussi des missions secondaires, à savoir :* Approvisionner les centres de diffusion de l’insémination artificielle sur le terrain ; évaluer les activités d’insémination artificielle sur l’ensemble du territoire ; et faire en sorte que les agro éleveurs puissent accéder à ce service d’insémination artificielle car dit-il l, le Mali mobilise des centaines de millions pour acquérir des semences et les synchronisant à partir de l’extérieur.  En termes de perspectives, « au niveau du centre nous comptons finaliser les infrastructures de production pour faire en sorte que les semences puissent être produites au niveau local au Mali et faire en sorte que les éleveurs puissent accéder au moindre coût à l’insémination artificielle » a souligné le Directeur Général du Centre National de l’Insémination Artificielle, visiblement satisfait. CCOM MDR RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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37ème Session Ordinaire du Conseil d’Administration du Laboratoire Central Vétérinaire

La 37ème Session Budgétaire du Conseil d’Administration du Laboratoire Central Vétérinaire (LCV) s’est déroulée dans la salle de conférence de ladite structure.  La présente session était placée sous la présidence du Ministre délégué auprès du Ministre du Développement Rural chargé de l’Elevage et de la Pêche M. Youba BA. Y étaient présents à l’ouverture des travaux, les membres du Conseil du LCV, des membres du cabinet, le Directeur du Laboratoire Central Vétérinaire Aboubacar Madio dit Aladiogo MAIGA. Cette session avait pour ordre du jour le procès –verbal de la 36ème session, la situation d’exécution des recommandations de la 36ème session, le rapport d’activités et l’état d’exécution du budget au 13 Décembre 2021, le programme d’activités des projets du budget 2022. L’enveloppe prévisionnelle du budget 2022 se chiffre à la somme de 2 milliards 776 millions 904 mille FCFA contre une dotation budgétaire de 2 milliards 178 millions 350 mille en 2021 soit un taux d’accroissement de 27, 48%. Le Ministre en charge de l’Elevage et de la Pêche a, d’entrée de jeu, rappelé les missions assignées au LCV qui sont, entre autres : Contribuer à la prévention et à l’éradication des maladies animales par le diagnostic de la recherche appliquée ; assurer dans le cadre de l’appui à la santé publique le dépistage des maladies transmissibles à l’homme par les animaux et l’analyse microbiologique des aliments eaux et boissons ; assurer par la production des vaccins la protection sanitaire du cheptel contre les maladies infectieuses ; participer à la formation et au recyclage des cadres dans le domaine des techniques de laboratoire ; assurer la recherche des résidus des pesticides dans les eaux, sol, aliments et végétaux. Le ministre a évoqué les difficultés  rencontrées par le LCV, liées à la vétusté  de certaines de ses infrastructures et certains équipements, des coupures intempestives d’électricité, la pandémie du COVID-19, ce qui a contribué à rendre les intrants de production du laboratoire plus cher, avec des délais de livraison aléatoire plus long. Le Ministre en charge de l’Elevage et de la Pêche a soulignera  que d’importants efforts ont été consentis par le LCV pour atteindre les objectifs définis par la 36ème session du Conseil d’Administration dudit laboratoire. Et de poursuivre : « au cours de l’année 2021, les activités de production de vaccins ont permis de réaliser un total de 41 millions 626 mille 300 doses toute valence confondue, contre une prévision de 43 millions 500 mille doses, soit un taux de réalisation de 95, 69%. Ce qui a rendu les vaccins disponibles et accessibles  pour la couverture des besoins nationaux en vaccins vétérinaires. » Par rapport à la recherche scientifique, le LCV a présenté au comité national scientifique agricole  (CRA) un total de 17 protocoles de recherche sur lesquels 12 ont été acceptés », s’est réjoui le Ministre. Le directeur général du Laboratoire Central Vétérinaire, M. Madio dit Aladiogo MAIGA, pour sa part, a souligné que les résultats enregistrés sont probants. « Dans le cadre de la production des vaccins vétérinaires, le Laboratoire a atteint au titre de l’exercice 2021 un taux record de 95, 69%. Ce qui a rendu les vaccins vétérinaires disponibles et tous les éleveurs du Mali ont eu facilement accès aux vaccins vétérinaires », a expliqué le directeur du LCV M. MAIGA. Le directeur a par ailleurs laissé entendre qu’en 2022 le LCV  se proposerait de rehausser le niveau de productions des vaccins pour atteindre un taux de 60 millions de dose de vaccins, que le laboratoire va partager avec les pays voisins. CCOM MDR/MDEP RETOUR EN IMAGES Précédent Suivant

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